Ma calligraphie est un pont entre la rue et l’invisible.

Elle prend racine dans l’énergie brute des murs, dans le rythme des villes, et trouve son souffle dans le silence intérieur.

Chaque trait est un geste vivant, une ligne qui relie le corps, l’encre et la lumière. J’aime explorer ce territoire fragile où la précision rencontre le lâcher-prise, où un mot peut devenir fresque, onde ou respiration. Sur papier comme sur béton, je cherche à donner forme à l’âme des lettres, à transformer l’écriture en expérience, à faire vibrer ce qui, d’ordinaire, reste caché.